Après avoir enchaîné quatre rencontres sans défaite toutes compétitions confondues, Angers SCO montre une belle résilience. Le but pour Alexandre Dujeux est désormais de maintenir cette dynamique positive en vue de la confrontation face à l’AJ Auxerre prévue ce dimanche.
L’équilibre d’Angers SCO sous la houlette d’Alexandre Dujeux
Le début de saison a été compliqué pour les Angevins. Avant d’arracher une victoire significative contre l’AS Saint-Étienne (2-4) le 26 octobre dernier, Angers SCO traînait une lourde série de huit matchs sans victoire. Se trouvant dans une position risquée près de la zone de relégation, le club a lentement redressé la situation. Grâce à un collectif qui commence à s’établir, les joueurs dirigés par Alexandre Dujeux se rapprochent aujourd’hui du top 6.
Avec une série actuelle de quatre matchs sans défaite, l’entraîneur français de 49 ans entend bien maintenir l’effort. Son objectif ? Garder le cap pour faire de cette saison un tournant majeur :
« Nous avons lancé une dynamique positive et il est crucial de la poursuivre. La vie est faite de cycles, et l’ambition et l’exigence sont essentielles pour avancer. Le plus difficile dans le football, c’est la constance. Nous traversons une bonne période, mais nous devons rester rigoureux et professionnels. Nous avons eu quelques lacunes lors du match contre Montpellier et devons corriger cela », a-t-il confié.
Une victoire face à l’AJ Auxerre ce week-end est donc considérée comme cruciale pour maintenir cet élan.
Un groupe uni malgré les blessures
Dans le cadre de cette rencontre à venir, Alexandre Dujeux a également évoqué l’état de son groupe. Bien que satisfait de la bonne entente entre ses joueurs, certains blessés demeurent incertains pour ce match :
« L’état de forme actuel est également une question de cohésion. Celle d’Esteban Lepaul, par exemple, contribue grandement à notre jeu collectif. Cependant, quelques joueurs souffrent encore de problèmes physiques. Nous évaluerons s’ils sont prêts. Emmanuel Biumla, souvent perturbé par des blessures l’année dernière, en est un exemple. Nous avons préféré ne pas prendre de risque contre QRM », a précisé le technicien.
